12h09 : l’heure de partir. Il enfile son blouson rouge. Regarde dans ses poches s’il a bien ses clés, endosse son sac. Sort, et ferme la porte à clé. Sans le chercher, il appuie sur l’interrupteur, et descend les escaliers.

Quel froid ! Bon c’est parti. Il jette rapidement un œil oblique sur la route pour traverser.

Il monte rapidement les escaliers, et traverse la passerelle. La musique lui monte dans la tête. Rien de bien précis, juste une sensation. Arrivée au quai du RER. Un court instant il a oublié le temps.

Un peu d’attente.

Arrivée du RER. Il s’avance, cherche la porte. Appuie sur le bouton noir. Il monte, regarde autour de lui. La densité. Il cherche une place au milieu de ces visages invisibles. S’assoit, et cherche son évasion dans sa poche.

Un temps duré, partir dans une lecture, s’ouvrir et pénétrer un autre monde.

A peine a-t-il posé ses yeux sue les lignes, qu’il est absorbé dans le monde d’H.G. Wells. Avec lui à explorer le temps, à découvrir ce nouveau monde, futuriste. Un jardin d’Eden, un masque sinistre.